Espérandieu – 1890

Le château du Coudray-Salbart, dont il ne reste plus que la seconde enceinte, est un des plus curieux spécimens de la fortification médiévale dans le Poitou (1). La date de sa construction est inconnue et il paraît assez difficile de la déterminer, en l’absence de tout document certain ; mais il est assez vraisemblable d’admettre quelle est du commencement du XIIIe siècle et environ d’un demi-siècle postérieur à celle du donjon de Niort (2). L’influence anglaise qui caractérise celui-ci ne se découvre pas au Coudray-Salbart, qui par contre se rapproche du château de Coucy par certains côtés.

Au XIII siècle, et depuis une époque très reculée, le fief du Coudray-Salbart, paroisse d’Échiré, était tenu par les seigneurs de Parthenay. Il relevait de l’abbaye de Saint-Maixent, ainsi que le prouvent les hommages que ces seigneurs étaient obligés de rendre à l’avènement des nouveaux abbés.

Le 9 septembre 1265, en particulier, Hugues Larchevêque, seigneur de Parthenay et de Vouvent – dominus Partinicia et Volventi – rend hommage à l’abbé de Saint-Maixent pour tous les fiefs qu’il tient de lui, et nous trouvons dans la nomenclature qu’il en donne celui du Coudray-Salbart qu’il écrit :  » apud Codreium  » (3).

Guillaume de Vezencay, abbé de Saint-Maixent, faisant au prince de Galles et d’Aquitaine l’aveu du temporel de son abbaye, comprend, le 13 décembre 1363, dans l’énumération de ses revenus, la redevance  » d’ung homme lige que doit le sire de Parthenay, Guillaume Larchevêque, à cause du chastel du Coudray  » (4).

(1) Indépendamment du château du Coudray-Salbart, situé sur le territoire de la commune d’Échiré, on peut citer en Poitou comme constructions militaires du XIIIe siècle ; les châteaux de Gencay, de Bressuire, de Pouzauges et de Vouvent, la Porte-au-Prévôt, à Thouars, et la porte Saint-Jacques de Parthenay.
(2) Le donjon de Niort, que quelques auteurs croient avoir été bati par Richard Cœur de Lion, est plus apparemment l’oeuvre de son père Henri II, mort en 1189. (Cf. Jos. Berthelé, Journal officiel, n° du 25 mai 1890 et Revue poitev. et saint., t. VI, 1890, n° du 15 juin.)
(3) Dom Fonteneau, t. XVI, p. 189 – A. Richard, Cartulaire de l’abbaye de Saint-Maixent, t. II., P. 94. (Archives historiques du Poitou, t. XVII.)
(4) Dom Fonteneau, t. XVI, p. 257. – A. Richard, loc. cit., P. 144.

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Le 12 mars 1440, Arthur de Richemont, autre seigneur de Parthenay, rendant hommage à son tour, presque dans les mêmes termes que son devancier Hugues Larchevêque, cite comme lui, parmi ses fiefs, celui qui se trouvait en un lieu appelé le Coudray (1).

Moins de trois ans plus tard, le 11 janvier 1443, on trouve enfin, dans le recueil des chartes de l’abbaye de Saint-Maixent, la trace d’un nouvel hommage reçu par un religieux qui se qualifie lui-même de  » très humble abbé du moutier  » (2). Cet aveu de dépendance est le dernier que j’aie rencontré pour le Coudray-Salbart, et si, à cette époque, le château possédait encore sa garnison complète, il est hors de doute qu’il en perdit bientôt la majeure partie. Un inventaire de 1460 a le double mérite de nous faire connaître l’état de dégradation prématurée – suite naturelle des guerres – dans lequel se trouvait alors la forteresse, et de nous donner des renseignements exacts sur les constructions qui sont aujourd’hui complètement disparues. On comprendra qu’à ce dernier titre ce document soit des plus précieux, et je ne saurais mieux faire assurément que de le reproduire ici dans son intégralité (3).

Au Moyen-âge comme de nos jours, l’entrée du château se trouvait au sud-ouest, à l’endroit même où les visiteurs actuels pénètrent dans le verger qui est attenant à la maison du garde. Il fallait préalablement franchir le fossé qui entourait les fortifications :

Devant le pont dormant, dit l’inventaire, est une petite porterie (4) à gauche, et à droite est une petite muraille et un petit appentis, et entre [les] deux est une barrière et un guichet.
Entre le pont-levis et la barrière est un petit pont dormant [celui dont il est question ci-dessus].

On arrivait ensuite dans la basse cour, après avoir passé sous un  » portal « , suivi un boulevard et traversé une voûte que l’inventaire décrit ainsi :

Un petit portal avant qu’on soit en la basse cour, duquel les murailles ont [à l’intérieur] 40 pieds de haut et 1 toise de large, et par le dedans 15 pieds de haut.

Entre icelui portal où est le pont-levis [et la basse cour, il y] a un boulevart de 10 toises de long [et] 8 de large, et la muraille du dit boulevart a 35 pieds de haut par dehors et 10 pieds par dedans et 1 toise de large, et [le portal est] carnellé ; les dites murailles de mesmes. Auquel boulevard faut bien des réparations, a 8 toises, chacune de 4 livres, parce qu’elle [la muraille] est de pierre de taille.

A l’entrée de la basse cour, [il y] a une tour emprés la porte, à gauche de 60 pieds de haut, laquelle tour est de mesmes carnellée et voutée par en bas.

De l’autre coté, à droite, [il y] a une autre tour pareille machecollée par [le] haut et tout le portal d’icelui coté machecollé, et à icelle tour a une voute par en bas.

Ont les murailles d’icelui portal… toises et demie de haut et, au dessus [d’] icelui portal [il y] a une chambre de deux toises en carré.

Cette description, sur laquelle je crois devoir m’arrêter un instant, permet de se rendre parfaitement compte du mode d’entrée qui avait été mis en usage au château du Coudray-Salbart. Nous y retrouvons ce que l’on remarque toujours au moyen âge, c’est-à-dire un système de défense combiné pour retarder le plus longtemps possible les efforts de l’assaillant. Un simple coup d’oeil jeté sur le plan du château fera beaucoup mieux comprendre ma pensée. (Voir le dessin page 27 et le plan page 29.)

En A, se trouvait une conciergerie ; le petit  » appentis  » qui lui faisait face était adossé contre un mur B qui se terminait sans doute au fossé, et, en tout cas, n’allait pas au delà du pont dormant ; enfin, entre les deux, devait être la  » barrière  » G constituée, selon toute apparence, par un simple mur percé d’une porte, ou par deux murs parallèles |__–| entre lesquels se trouvait le  » guichet « . On s’engageait ensuite sur le pont dormant D, puis sur le pont-levis E, et l’on arrivait ainsi au  » portal  » F qui pouvait être fermé par le redressement du pont-levis et par une porte à doubles vantaux.

Le boulevard, qui venait après, se trouvait sur le prolongement de l’axe du portail. Il était formé à l’ouest par la muraille de dix toises de long, et à l’est par les maçonneries de la tour  » machecollée  » placée du côté droit  » emprés la porte de la basse cour « . Il y a lieu de remarquer les dimensions respectives du portail et de la muraille du boulevard. L’épaisseur est la même — 1 toise, ce qui était insuffisant pour l’installation d’une herse, —

(1) Dom Fonteneau, t. XVI, p. 313 – A. Richard, loc. cit. P 221.
(2) Dom Fonteneau, t. XXXIX, P. 216.
(3) Prisée de la valeur des terres et seigneuries de Secondigny-Beceleu et Coudray-Salbart, en 1460. (Arch. Nationales.0. 19-712)
Je dois la communication de ce document à M. Ledain qui l’avait déjà utilisé dans son beau travail sur la Gatine historique et monumentale. Je l’en remercie bien sincèrement.
(4) Conciergerie. Les mots entre crochets sont ajoutés pour faciliter l’intelligence du texte. Il suffit de les retrancher pour avoir la teneur de l’original.

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Dans la basse-cour, à gauche, [il y] a un autre pan de mur jusqu’à la tour de Boisbertier, de 50 toises de long, et dehors 40 pieds de haut et dedans 25 pieds et de large 1 toise 1/2. Contre les dites murailles sont les étables en appentis de 16 toises de long. Dont les petits murs du dit pan sont en mauvais état.

En la dite basse-cour, [il y] a une maison où est le four et plusieurs logis où se [venaient] retraite les bonnes gens par le temps de la guerre, lesquels logis sont cheus (1).

Bien qu’elles soient fort mal conservées et qu’en certains endroits elles émergent à peine du sol, on peut suivre les murailles du château sur tout le périmètre de la première enceinte et distinguer assez facilement la trace des logis. La chapelle a plus complètement disparu, mais non pas à un tel point qu’il ne soit plus possible de la reconnaître parmi les ronces du terrain, à l’endroit même où l’inventaire le décrit. Des deux tours l’une – celle de droite – a été entièrement rasée. On la devine aux arrachements de la muraille qui rejoint la tour du Moulin, et il se pourrait que l’on dût voir les restes de l’une quelconque de ses assises dans les moellons qui sont situés au niveau du sol, en face de la maison du garde, dans le fossé actuel du château. La tour de gauche se reconnaît encore assez facilement, à quelques traces de muraille.

Un coup d’oeil jeté sur le plan de la page 29 convaincra du peu de solidité que devait présenter la courtine de 50 toises de long qui s’étendait en ligne brisée, depuis la tour de Boisbertier jusqu’à l’entrée de la basse-cour. Il y avait la, surtout au saillant, un système de défense tout à fait insuffisant dont la forme du terrain ne permettait pas de se passer. Il est extraordinaire que les architectes du château ne l’aient pas compris et n’y aient pas remédié par la construction d’une tour.

Jusqu’ici les rédacteurs de l’inventaire n’ont pas encore parlé des fortifications de la seconde enceinte, ou du château proprement dit, qu’un très large fossé séparait de la basse-cour. Nous y arrivons avec eux :

Pour entrer de la dite basse-cour [dans le château, il y] a, disent-ils, un pont dormant de bois de 4 toises 1/2 de long. Et [pour monter (2)] sur ce pont, [il y] a une échelle de pierre qui a 8 degrés ; et entre le dit pont dormant et l’entrée du dit chastel [il y] a un pont-levis qui se tire par le dedans à une poulie et une corde. Et se portent les deux ponts sur un pilier de pierre [placé au milieu du fossé].

En l’entrée du dit chastel [il y] a une tour ronde non couverte appelée la tour du portal qui a 70 pieds de haut, et [dans cette tour, il] y a deux voutes, l’une à l’entrée, l’autre par-dessus où est une cheminée, et à droite est la vis pour monter en la dite chambre. Et la dite tour est toute découverte et les crénals cheut et gasté.

Du pont dormant on ne distingue plus la trace; mais les dispositions intérieures de la tour peuvent être parfaitement suivies. La vis qui permettait d’atteindre la chambre placée au-dessus de la voûte est encore intacte, à l’exception de quelques marches. Dans cette chambre, qui prenait jour par une fenêtre pratiquée du côté de la cour du château et par une archère ouverte du côté de la basse-cour, on retrouve, contre la paroi du sud, la cheminée dont il est question dans l’inventaire. Il existait une herse dont la coulisse venait aboutir dans l’embrasure de la fenêtre, et, de l’extérieur, on peut voir encore les traces laissées par la chaîne qui, passant par l’archère, servait à retirer le pont-levis.

Le treuil de la herse était engagé dans les côtés de l’embrasure. Aux évidements circulaires de la pierre on reconnaît facilement la place de ses extrémités. Ce treuil servait encore à remonter le pont-levis, et il est probable que la même corde, en s’enroulant d’un côté et se déroulant de l’autre, permettait la manœuvre simultanée des deux obstacles. Les vantaux de la porte d’entrée étaient solidement unis par une barre qui se logeait de chaque côté dans les parements du couloir. Aucune meurtrière latérale n’était percée dans le passage; mais des entailles, pratiquées de distance en distance, laissent supposer que les défenseurs pouvaient continuer la lutte en se barricadant. Avant de sortir du passage, on rencontre, à gauche, un petit réduit dont l’inventaire parlera plus loin en le qualifiant de prison. Ce réduit, qui doit avoir servi de magasin, pouvait être défendu par une archère ouverte du côté de la basse-cour.

Depuis cette tour [du Portal] jusqu’à la tour du Moulin [il y] a, dit l’inventaire, un pan de mur de 11 toises de long et de 2 toises 1/2 de large tout fait le dit pan à contre mine et [qui] est tout crenelé de mesmes [que la tour]. Et [ce pan] a de hauteur par le dehors 5o pieds et par dedans 25 pieds.
Au coin de ce pan de mur, [il y] a une tour à deux voutes appelée tour du Moulin (3) ayant de hauteur par le dehors, devers

(1) Chut, tombés,
(2) Il y a dans l’inventaire : Et en montant…
(3) Sur la vue que M. Robuchon a prise de la Sèvre (planche 9), la tour du Moulin se voit au premier plan. Elle a, au second plan, à se droite, la tour du Portal, et au premier plan, à sa gauche, la Grosse Tour. On distingue au dernier plan la tour de Saint-Michel entre la Grosse Tour et la tour du Moulin.

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les fossés, VI** pieds (1). Et par dedans du premier étage jusqu’au haut, [il y] a une vis de 66 marches; et par dessus, le pavé de la dite tour contient 4 toises 1/2 de largeur.

Depuis cette tour du Moulin de ce côté jusqu’à la Grosse Tour [il y] a un pan de mur de 17 toises de large et demie, tout contreminé, et [qui a] de hauteur par dehors 60 pieds et par dedans 40 pieds. Lequelles contremines sont toutes à canonnières et arbalétrières (2). Et [il y] a en icelui pan une porte pour issir (3) en la doue, et au droit de la dite poterne [il y] a une [autre] pouterne par dessous toute voûtée qui passe par dessous le dos d’asne pour issir dans la rivière.

Depuis ce pan, au bout du dit pan, est la Grosse Tour du chastel. Et pour monter en icelle jusqu’au premier étage de la dite tour [il y ] a une rampe de 4 toises et demie de long et 4 le large. [La défense du premier étage se compose d’un côté] d’une fenêtre garnie double [et] de l’autre coté [la paroi] est garnie [d’une archère]. Et contient depuis le dit étage de hauteur jusqu’à la voûte 35 pieds (4). Et icelui étage a une cheminée jusqu’au haut de la tour.

Depuis icelui [étage] jusqu’au, haut de la tour, [il y] a une vis pour monter au haut de la tour qui contient 54 marches. Et est la dite tour toute pavée dessus et contient le pavé 10 toises de travers ; [la tour] contenant de hauteur par le dehors VI**X pieds (5) par dedans 100 pieds (6).

Depuis cette tour jusqu’à la tour de Saint-Michel, [il y] a un pan a mur de 8 toises 1/2 de long et de 3 toises de large et le haut par dehors 60 pieds et par dedans 40 pieds, tout contreminé par en bas, et tout ce à main droite (7).

La description qu’on vient de lire est assez complète et assez intelligible pour qu’il n’y ait pas lieu de la commenter bien longuement. On peut remarquer, cependant, que les tours n’avaient pas de toiture, ce qui, sans être nouveau, n’en est pas moins assez rare. Cette particularité se retrouve à Coucy.

Après être arrivés à la tour de Saint-michel, les rédacteurs de l’inventaire reviennent sur leurs pas :

Depuis la tour du portal, disent-il, de l’autre part, à main gauche, en l’entrée du dit portal, à gauche, [il y] a par le dessous (8) une petite prison voutée de 2 toises de long et 1 de large.

Depuis la tour du portal [il y a] un pan de mur de 18 toises de long et de trois de large et de haut : par dehors 60 pieds, et par dedans 25 pieds, tout contreminé et les contremines faites à archères et canonnières défensables par le dedans et par le dehors ; et est le dit pan depuis la tour du portal jusqu’à la tour à Boybertier.

Au bout de ce pan à gauche est la tour de Boybertier, voutée à deux voutes. Et [il y a] une cheminée en la premiere des voutes qui est fendue. Et [cette tour] contient de hauteur : par dehors VI** pieds et par dedans 80 pieds. Par le dessus, [elle est] toute pavée de terre, et le dit pavé a 7 toises de long.

Depuis cette tour jusqu’à la Tour Double, [il y] a un pan de mur de 17 toises de long et trois de large, et de haut : par dehors 6o pieds et plus, et par dedans 50 pieds. A l’endroit duquel pan, par dedans, pouvait avoir une salle grande qui est toute cheute et y bien peu d’apparence (9).

Au bout de ce pan est une grosse tour appelée la Tour Double, de 100 pieds de haut et plus et 9 toises de large par le premier étage du bas (10), garnie de deux voutes, l’une dessous et l’autre dessus. Et [il y] a, depuis le dit étage, une autre tour antée en icelle, par dessus (11), voutée d’une voute, et [possédant] un autre étage outre la voute, et [cette seconde tour] contient par le dessus 5 toises de traverse, et peut bien avoir, 50 pieds au dessus de la grosse tour sur quoi elle est assise.

Depuis cette grosse tour, jusqu’à la tour Saint-Michel, [il y] a un pan de mur de 9 toises de long et 3 toises de large et [ayant] : par dedans 100 pieds (12) et par dehors de hauteur 100 pieds. Et [ce pan est] tout contreminé par le bas, comme les autres, à archières et canonnières, [et peut servir] à combattre par dehors et par dedans et à pic de mur. Et sont tous les autres pans ensuivans ainsi contreminés.

Au bout de ce pan est la tour Saint-Michel au milieu de dit chastel, de 110 pieds par dehors et par dedans 80 pieds, laquelle tour est voutée de deux voutes, desquelles celle de dessus est fendue. Et la dite tour a, par dessus, de traverse : 7 toises.

Et toute la muraille du dit chastel, basse cour et boulevart, est toute faite de pierre de taille et de pointe de marteau, et par le dedans et dehors. [Les maçonneries sont] voûtées et contreminées, [à] eschelle et à vis.

De quoi (13) la dite muraille est toute dégarnie et degarlandée (14) par le dessus, et machecoleys et carneaulx (15) par quoi toutes, les voutes des dites tours et contremines, que chet pluie (16), enfondent, et passe l’eau parmy, au très grand préjudice de la dite muraille et tours. Et [il] y faudrait bien pour 1000 livres de réparations (17).

(1) 120 pieds.
(2) La plupart des meurtrières du château de Salbart sont en forme de croix. Il en existe un certain nombre, dans les courtines de l’est qui sont simplement constituées par une fente verticale.
(3) Déboucher.
(4) En d’autres termes, la salle de premier étage a 35 pieds de hauteur.
(5) 130 pieds.
(6) Sur la planche 9, la Grosse Tour est au premier plan, à gauche ; on n’en n’aperçoit qu’une partie. La tour de Saint-Michel est au milieu et la tour Double au dernier plan.
(7) En d’autres termes : n’ayant pas de meurtrières percées du coté de la cour du château.
(8) C’est-à-dire sous le passage.
(9) C’est-à-dire : dont il ne reste que bien peu le chose.
(10) Il faut comprendre : pour la tour principale.
(11) C’est-à-dire : au-dessus de la tour principale.
(12) Celle mesure ne doit pas être exacte.
(13) [En ce moment ?]
(14) Découronnée.
(15) Créneaux.
(16) Sur lesquelles tombe la pluie.
(17) Ces réparations ne furent jamais faites.